Dors, dors ne crie plus....
Dors ,dors ne crie plus,
Leur mandibules sont enormes et leur cerveau est plat,
Ils terrorisent leur prochain pour le plaisir de la chasse.
Ils ne sont plus humains, car ils n ont plus de mains et ,leur sbires leur servent tout sur un plateau.
lLe coeur ils l ont perdu depuis longteps ,lune plie relance le mouvement.
Il s appelait le temps.le temps et avait remplace la vie.
la poesie peut on rester digne ?
> > > Oui fidele amis ecrivain du futur,
> >
> Franck effectivement je m envoie en l air depuis six mois avec une
directrice artique la poesie c est aussi le monde du show biz,apres la
geante photo a Lodeve sur un mur d immeuble de l auteur en poesie enfin
officiellement reconnu par la culture politique et commerciale l ego ne
peut que exploser ,tout naturel de poursuivre un cote carrieriste.tout
cela avec la plus grande des lachetes de ne pas informer femme et
enfants avec lesquels il vivait depuis quatorze ans ,demmenagement
sauvage ,durant l absence de celle ci le premier du jour de l an a une
heure du matin un sms l informe que celui est dans son nouvel
appartement avec les enfants,elle revient dans une maison vide ,pour
apprendre malgre elle un mois apres sur l ordinateur de Franck a une
relation amoureuse avec une autre et il ecrit a deux pretendus amis que
cela faisait deux ans qu il se preparait a un depart.
> > >
Alors qu il travaillait a peine depuis un an a temps pour remplir son
role reel de pere nourricier et que depuis cinq mois a peine ,sa femme
venait de se faire licencier et s appuyait temporairement sur lui pour
un relais qui n est pas au rendez vous
> > > l abandon du
foyer familial de facon violente,une main courante a ete depose elle se
retrouve cette femme avec ses deux enfants de facon soudaine dans le
denuement total de ses biens qu elle avait toujours eu le souci de
preserver pour l interet de chacun
> > > en travaillant
,elle a eleve le fils de Franck jusqu a l age de ses dix ans ,donc
trois enfants a charge pendant dix ans .
> > > Faut il qu
elle pense qu elle a vecu avec un gigolo,que quand la femme ne rammene
plus comme chez les lions la nouriture familiale il s en va en asservir
une autre pour rassurer son ego surdimentionne.
> > > Et il
souhaiterait demunir de ses biens cette femme au point de recuperer ses
enfants pour vivre avec et se faire valoir ,attendrir avec cette
> > > image de pere qui asservira une autre femme pour elever ses enfants a moindre frais pour lui .
> > > Lacan dit que la femme n existe pas ,on comprend mieux pourquoi....
>
> > je dis juste que pour que cet atelier d ecriture existe c est
moi qui avait pris les contacts et mis en relation le foyer
>
> > de Tramayes avec l Association Itineraire des Poetes etant la
tresoriere,j ai participer toute ces annees a la faire vivre cette
association,et que Franck en grand dictateur en gourou angelique se
comporte comme un miserable porc,et vous les disciples dans votre desir
d ecrire dont vous doutez a chaque instant vous rendez complices et
soutenez ses actes irresponsables.
> > > c est facile d
evincer ,je ne comprends pas ce besoin de detruire pour exister ,il
semble que le plaisir de la cruaute l emporte
> > > vu le
nombre de supporter que vous etes a admettre que ca fait partie de l
humanite d etre cruel avec une jouissance profonde de la mort de l
autre.les enfants vous accuseront et ne pourront que ressentir du
degout si ils survivent a cette epreuve.
> > > Ah la politique culturelle dirigee ,orientee
>
> > Qu il me restitue mon argent ,qu il repare et poursuive son
histoire amoureuse pour retrouver une dignite humaine ,facile de dire
que les autres jouent les victimes mais la on est dans du reel,ce ne
sont des enigmes poetiques a deviner.
> > > Jeter des petites culottes sur un public ,c est a la portee de tous et recuperer des groupies en demande.
> > > On peut faire dans le bio ,mais cela commence avant tout dans l esprit.
> > >
> > >
amer hair, hair d aimer toi ,moi,moi,toi
> > Les poetes ont une drole de facon d aimer.......
> > > > >
> > > > > Il y a un an, madame ,voyez vous ,je venais ici avec sous la peau, la certitude d une rencontre.
> > > > > Il y a une amie,une amie formidable.
>
> > > > Il m a fallu alors un peu de temps dans le sud pour
avoir la vision de cette rencontre.La vision juste,la vision claire
,celle de dessous les bougies.
> > > > > Il m a fallu
entendre frapper a la porte de ma maison plusieurs fois ,a l heure ou
la lune s endormaitdans le tilleuls.
> > > > > Il m a fallu entendre ,nos soirees durant,votre silence et votre parole derriere les mots.
> > > > > Il m a fallu m entendre moi,moi d habitude si muet.
>
> > > > Il m a fallu m ecouter,me regarder ,la,en bas,bien
au fond.Un peu de temps il m a fallu,un peu de temps.
> > > > > Viel ours dans le froid de ma caverne,vous veniey rechauffer le bout de mes doigts gayelle etoilee.
> > > > >
> > > > >
>
> > > > Depuis un an ,madame les matins se succcedent aux
matins,comme les saisons passent ,et les soirs ,et cet amour qui nait a
lui meme en chaque instant:
> > > > >
> >
> > > Au matin ,j ouvre les yeux et vous tes la .marmotte au
sommeil,gayelle au galop sur les dunes de vos reves .
> > >
> > Votre peau respire,le calme vous habite, s est niche a votre
insue sous vos ongles et sous vos paupieres.
> > > >
> le reveil strident n a rien fait sursauter de votre soufle.il
souleve votre ney et son etoile,Il s echappe d entre vos levres.
>
> > > > Il s echappe et me chuchote vos images sous le
songe,vos tresaillements de doigts sous les assauts,de quelques peurs
encestrales.
> > > > > le soleil s est reveille depuis peu lui aussi,pour nourrir sa journee de votre eclat.
> > > > >
> > > > > Comme je plains ces hommes qui sont passes pres de vous sans voir votre beaute.
> > > > >
>
> > > > Au matin,j ouvre les yeux et vous etes la,
souriante dans votre sommeil.Mouvement de drap s enroule dans votre
dos,laisse apparaitre un sein ,votre nombril,un genou.
> >
> > > J aime chaque partie de vous,car chaque partie de vous
est vous tout entiere.//Je vous aime et je vous hais ,je vous hais de
vous aimer//
> > > > > je vous aime de me hair de la sorte//
>
> > > > Et madame je l avoue,je souleve votre drap et je
vous regarde appaisee.Du bout de vos fesses a vos ongles de pieds,la
respiration vous porte sur un ocean de sable.Vos seins se soulevent et
votre corps embaume de l amour d hier.De matin en matin vos seins s
arrondissent. Et l enfant que nous aurons peut etre bientot,ou plus
tard est l enfant de notre amour.
> > > > > Vos cils
ont bouge,je recouvre votre corps de princesse oranaise.N allez prendre
froid,les couettes sous le nez je vous fais un nid et je balance mon
corps dans la chambre pleine de votre soufle.
> > > > > je saute dans mes habits d hier et d avant hier ,dans mes habits de vieux bucheron fatigue .
> > > > > La cafetiere italienne fremit sur le feu,je bourre le poele de chene.
>
> > > > Je soufle sur les braises et le papier s
enflamme..sort impitoyable reserve aux nouvelles deja anciennes de la
semaine.Le papier
> > > > > s enflamme en flamme et en fummee la peste de Madasgascar,la vodka de Russie ,au bar de moins a Alger.
> > > > >
>
> > > > Sur le plateau dore,je dispose des tartines de
toutes les couleurs et la cafetiere pousse un dernier soupir.
> > > > > Tout est pret,la cuillere et le sucre,la haut tu viens de te retourner dans le nid.
> > > > >
>
> > > > Je n aime plus la ville : ces mots sont si
ssimples.Le rire des mouettes,les poubelles qui degueulent,les
goutieres pisseuses...la source est tarrie.Peut etre a d autres heures
de la journee reste t il un peu de fraicheur et de silence entre les
pierres et le beton.
> > > > > Et pourtant ,je suis ici bien la.
> > > > > Je sue ici en plein cagnat,en plein charnier,de corps et de mots.
>
> > > > Les corps ici se collent sans jamais se
toucher.....carcasses denuees de sens .Et les mots desosses,vont y
butter sans but,pour aller crever plus loin,par la fenetre dans la rue
> > > > >
>
> > > > Ou es tu mon amour ,mon ventre arrondi? je devrai
etre le long des rivieres de ta peau,sous le raffraichissements de tes
bouts de
> > > > > doigts.
> > > > > en sueur,
> > > > > sous les vents d est
> > > > > de ton souffle
> > > >