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liboria

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  • pour la liberte de s ecrire , de se dire, de se respecter autour du conte , de la peinture, de la musique, de la danse .... Libre court a la creation .....ouverte sur le monde . Dans la dignite et l humilite.
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10 novembre 2016

Cette arme prothèse de ton membre absent.

Tu nourri aucune source,aucune source n abreuve ta soif .Tu as beau remplacer les seins qui t'ont nourri comme des phares de voiture, cela n'habitera jamais le trou béant de ton ame.Ainsi comme un monstre hai de tous pour apaiser ta colere tu voudra que tous soient armés et que le monde disparaisse avec toi.....et si le diable exisre alors ! Il serait à ton image souffrante et laide phagocytant des jeunes vierges et le silence innocent de nos garçons !!!
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26 avril 2013

Dors, dors ne crie plus....

 

Dors ,dors ne crie plus,

Leur mandibules sont enormes et leur cerveau est plat,

Ils terrorisent leur prochain pour le plaisir de la chasse.

Ils ne sont plus humains, car ils n ont plus de mains et ,leur sbires leur servent tout sur un plateau.

lLe coeur  ils l ont perdu  depuis longteps ,lune plie relance le mouvement.

Il  s appelait le temps.le temps et avait remplace la vie.

26 février 2010

la poesie peut on rester digne ?

> > > Oui fidele amis ecrivain du futur,
> > > Franck effectivement je m envoie en l air depuis six mois avec une directrice artique la poesie c est aussi le monde du show biz,apres la geante photo a Lodeve sur un mur d immeuble de l auteur en poesie enfin officiellement reconnu par la culture politique et commerciale l ego ne peut que exploser ,tout naturel de poursuivre un cote carrieriste.tout cela avec la plus grande des lachetes de ne pas informer femme et enfants avec lesquels il vivait depuis quatorze ans ,demmenagement sauvage ,durant l absence de celle ci le premier du jour de l an a une heure du matin un sms l informe que celui est dans son nouvel appartement avec les enfants,elle revient dans une maison vide ,pour apprendre malgre elle un mois apres sur l ordinateur de Franck a une relation amoureuse avec une autre et il ecrit a deux pretendus amis que cela faisait deux ans qu il se preparait a un depart.
> > > Alors qu il travaillait a peine depuis un an a temps pour remplir son role reel de pere nourricier et que depuis cinq mois a peine ,sa femme venait de se faire licencier et s appuyait temporairement sur lui pour un relais qui n est pas au rendez vous
> > > l abandon du foyer familial de facon violente,une main courante a ete depose elle se retrouve cette femme avec ses deux enfants de facon soudaine dans le denuement total de ses biens qu elle avait toujours eu le souci de preserver pour l interet de chacun
> > > en travaillant ,elle a eleve le fils de Franck jusqu a l age de ses dix ans ,donc trois enfants a charge pendant dix ans .
> > > Faut il qu elle pense qu elle a vecu avec un gigolo,que quand la femme ne rammene plus comme chez les lions la nouriture familiale il s en va en asservir une autre pour rassurer son ego surdimentionne.
> > > Et il souhaiterait demunir de ses biens cette femme au point de recuperer ses enfants pour vivre avec et se faire valoir ,attendrir avec cette
> > > image de pere qui asservira une autre femme pour elever ses enfants a moindre frais pour lui .
> > > Lacan dit que la femme n existe pas ,on comprend mieux pourquoi....
> > > je dis juste que pour que cet atelier d ecriture existe c est moi qui avait pris les contacts et mis en relation le foyer
> > > de Tramayes avec l Association Itineraire des Poetes etant la tresoriere,j ai participer toute ces annees a la faire vivre cette association,et que Franck en grand dictateur en gourou angelique se comporte comme un miserable porc,et vous les disciples dans votre desir d ecrire dont vous doutez a chaque instant vous rendez complices et soutenez ses actes irresponsables.
> > > c est facile d evincer ,je ne comprends pas ce besoin de detruire pour exister ,il semble que le plaisir de la cruaute l emporte
> > > vu le nombre de supporter que vous etes a admettre que ca fait partie de l humanite d etre cruel avec une jouissance profonde de la mort de l autre.les enfants vous accuseront et ne pourront que ressentir du degout si ils survivent a cette epreuve.
> > > Ah la politique culturelle dirigee ,orientee
> > > Qu il me restitue mon argent ,qu il repare et poursuive son histoire amoureuse pour retrouver une dignite humaine ,facile de dire que les autres jouent les victimes mais la on est dans du reel,ce ne sont des enigmes poetiques a deviner.
> > > Jeter des petites culottes sur un public ,c est a la portee de tous et recuperer des groupies en demande.
> > > On peut faire dans le bio ,mais cela commence avant tout dans l esprit.
> > >
> > >

21 février 2010

amer hair, hair d aimer toi ,moi,moi,toi

> > Les poetes ont une drole de facon d aimer.......
> > > > >
> > > > > Il y a un an, madame ,voyez vous ,je venais ici avec sous la peau, la certitude d une rencontre.
> > > > > Il y a une amie,une amie formidable.
> > > > > Il m a fallu alors un peu de temps dans le sud pour avoir la vision de cette rencontre.La vision juste,la vision claire ,celle de dessous les bougies.
> > > > > Il m a fallu entendre frapper a la porte de ma maison plusieurs fois ,a l heure ou la lune s endormaitdans le tilleuls.
> > > > > Il m a fallu entendre ,nos soirees durant,votre silence et votre parole derriere les mots.
> > > > > Il m a fallu m entendre moi,moi d habitude si muet.
> > > > > Il m a fallu m ecouter,me regarder ,la,en bas,bien au fond.Un peu de temps il m a fallu,un peu de temps.
> > > > > Viel ours dans le froid de ma caverne,vous veniey rechauffer le bout de mes doigts gayelle etoilee.
> > > > >
> > > > >
> > > > > Depuis un an ,madame les matins se succcedent aux matins,comme les saisons passent ,et les soirs ,et cet amour qui nait a lui meme en chaque instant:
> > > > >
> > > > > Au matin ,j ouvre les yeux et vous tes la .marmotte au sommeil,gayelle au galop sur les dunes de vos reves .
> > > > > Votre peau respire,le calme vous habite, s est niche a votre insue sous vos ongles et sous vos paupieres.
> > > > > le reveil strident n a rien fait sursauter de votre soufle.il souleve votre ney et son etoile,Il s echappe d entre vos levres.
> > > > > Il s echappe et me chuchote vos images sous le songe,vos tresaillements de doigts sous les assauts,de quelques peurs encestrales.
> > > > > le soleil s est reveille depuis peu lui aussi,pour nourrir sa journee de votre eclat.
> > > > >
> > > > > Comme je plains ces hommes qui sont passes pres de vous sans voir votre beaute.
> > > > >
> > > > > Au matin,j ouvre les yeux et vous etes la, souriante dans votre sommeil.Mouvement de drap s enroule dans votre dos,laisse apparaitre un sein ,votre nombril,un genou.
> > > > > J aime chaque partie de vous,car chaque partie de vous est vous tout entiere.//Je vous aime et je vous hais ,je vous hais de vous aimer//
> > > > > je vous aime de me hair de la sorte//
> > > > > Et madame je l avoue,je souleve votre drap et je vous regarde appaisee.Du bout de vos fesses a vos ongles de pieds,la respiration vous porte sur un ocean de sable.Vos seins se soulevent et votre corps embaume de l amour d hier.De matin en matin vos seins s arrondissent. Et l enfant que nous aurons peut etre bientot,ou plus tard est l enfant de notre amour.
> > > > > Vos cils ont bouge,je recouvre votre corps de princesse oranaise.N allez prendre froid,les couettes sous le nez je vous fais un nid et je balance mon corps dans la chambre pleine de votre soufle.
> > > > > je saute dans mes habits d hier et d avant hier ,dans mes habits de vieux bucheron fatigue .
> > > > > La cafetiere italienne fremit sur le feu,je bourre le poele de chene.
> > > > > Je soufle sur les braises et le papier s enflamme..sort impitoyable reserve aux nouvelles deja anciennes de la semaine.Le papier
> > > > > s enflamme en flamme et en fummee la peste de Madasgascar,la vodka de Russie ,au bar de moins a Alger.
> > > > >
> > > > > Sur le plateau dore,je dispose des tartines de toutes les couleurs et la cafetiere pousse un dernier soupir.
> > > > > Tout est pret,la cuillere et le sucre,la haut tu viens de te retourner dans le nid.
> > > > >
> > > > > Je n aime plus la ville : ces mots sont si ssimples.Le rire des mouettes,les poubelles qui degueulent,les goutieres pisseuses...la source est tarrie.Peut etre a d autres heures de la journee reste t il un peu de fraicheur et de silence entre les pierres et le beton.
> > > > > Et pourtant ,je suis ici bien la.
> > > > > Je sue ici en plein cagnat,en plein charnier,de corps et de mots.
> > > > > Les corps ici se collent sans jamais se toucher.....carcasses denuees de sens .Et les mots desosses,vont y butter sans but,pour aller crever plus loin,par la fenetre dans la rue
> > > > >
> > > > > Ou es tu mon amour ,mon ventre arrondi? je devrai etre le long des rivieres de ta peau,sous le raffraichissements de tes bouts de
> > > > > doigts.
> > > > > en sueur,
> > > > > sous les vents d est
> > > > > de ton souffle
> > > >

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